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J'ai avalé un sérum de vérité

J'ai avalé un sérum de vérité
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J'ai avalé un sérum de vérité
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5 août 2010

Personne ne t'as fait d'ombre, t'es restée ma seule rose quand j'étais entouré de ronces.

Je redessine les jours au crayon de l'espoir.

 

J’ai beau prier tous les dieux, tous les saints, qu’est ce que ça va changer si tu n’es plus là demain.

On ne peut oublier nos soi disantes erreurs, mais on peut éviter qu'elles se reproduisent a nouveau...

Tu est parti, tu as recommencer ta vie, en oubliant de me rendre la clef. Car oui c'est toi qui détiens la clef de mon bonheur, la clef de mon coeur. C'est toi qui détient la clef de mes sourires, la clef de tout mes fou rire.

Que s'éteigne la flamme qui brûlait dans tes yeux.

Je me suis détruis, j'ai perdu mon chemin

Comment oublier tous ces moments qu'on a partagés ? Je ne sais pas et je ne veux pas savoir la réponse, je n'ai pas envi d'oublier. Je ne pourrais rien oublier de nos escapades, bêtises, etc... Tu as voulu m'évincer de ta vie alors j'ai fait de même.

Comme si ma vie m'échappait et que mes rêves ne m'appartenaient plus... Comme si mon corps s'évadait, et que ma peau, petit à petit se mettait à craqueler de partout, comme un serpent perdrait ses écailles, impossible de penser plus loin. Je ne me comprend plus... Je ne me vois plus...

Derrière l'un de mes sourires se cache toujours une larme pour toi.

J'aimerais retrouver mon passé, mais seulement à moitié pour ne garder que les bons instants, et oublier les mauvais.


Créateur de Mode.

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3 août 2010

Tout l'or de Dubaï ne vaut pas sa présence.


Toi ma sœur, la petite fleur de mon cœur :

 

Née le 16 Octobre 1995 et à une date que j’ignore un jour tu partiras. Rien que d’y penser mes yeux deviennent humides. Alors je te regarde pour me blinder en souvenirs, pour ne pas oublier ton visage, et surtout ton sourire. Tout ce que je peux te dire, c’est que je serai toujours là pour toi, qu’il fasse beau ou froid...

Toi qui as grandi avec moi. On s’est chamaillé sans cesse, et parfois encore, on se blesse. Mais malgré toutes nos différences, je t’aime en silence. 

Peu importe ce que tu es ou ce que tu choisis de faire pour ton futur, Tu fais partie de ma vie, et jamais je ne t'oublierai. Tu es mon silence dans le bruit. 

Je te vois parfois discuter avec t’es amies, jouer aux jeux qui étaient nôtres. Alors, je suis triste à mourir. C’est comme si tu m’avais abandonné, car j’ai parfois du mal à me mettre dans la tête, que tu deviens une femme. Et j’ai comme l’impression de perdre petit à petit ma petite sœur.

Qu’importe mon argent ou mon or, Si tu n’es pas là, près de moi…

Le bonheur est parfois éphémère, et souvent laisse la vie bien amère, surtout lorsqu’il a décidé soudain, de poursuivre un autre chemin.

Si tu n'était pas là... Dis-moi pour qui je sourirai ?

Tu devrais voir de quelle façon brillent mes yeux quand tu souris. La façon dont ton rire enflamme mon monde

PP  Ps : Mon bonheur c’est de voir ton sourire


Créateur de Mode.

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21 juillet 2010

Fallait-il donc que les gens s'éloignent pour que l'on se rende compte de la place qu'ils prenaient dans nos vies ?


Moi, je suis riche en millions d’étoile que le ciel a posée dans tes yeux.

 Tout ce qui brille n’est pas de l’or et tout l’or du monde ne vaudra jamais ton sourire

Le plus dur pour moi n'a pas été de te perdre mais de renoncer à l'espoir fou que tu reviendrais...  

J'aimerais pouvoir me débarrasser de cette demoiselle qui loge en moicette âme contraire de ce que je suis réellement, ce fantôme qui me noircit tout ce que je regarde. Si cette demoiselle était dans ma vie, elle ne serait plus dans mes écrits ... 

Pourquoi m'avoir dit de si belles choses, et maintenant me demander de les oublier ?

C'est fou comme tout peux changer, malgré les promesses qu'aujourd'hui tout le monde croit encore, alors qu'elles ne font qu'être oublier et qu'on sera toujours déçu à la finComme le fait qu'elle est pu te remplacer, si vite, sans effets secondaires, aussi simplement. Toi tu n'existe plus, c'est terminer. 

On à l'impression de perdre un peu de nous chaque jours, de devoir tout regarder sans rien y ressentir, de se rendre compte de tout ce qu'on à perdu

 

Tu me manques mais c'est mieux comme ça

Pour finir comme le dit Marc Lévy : Il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.

Créateur de Mode.

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12 juillet 2010

J'aurais aimé savoir te retenir, trouver les bons mots & te faire sourire


Quelques lignes dont je ne t'avouerai jamais qu'elles parlent de toi.

Quand je te vois je suis à cours de mots. Je ne voulais pas te quitter car tu es ce genre de femme qui me fait rester fidèle. J’aurais aimé te prouver que j'aime ce que tu es, quoi que tu fasses

Un si joli regard, absorbant, réceptif. Ce regard que je ne me lasserai jamais de capter. Tes yeux qui ont tant de choses à dire, qu'ils n'osent révéler qu'à moitié. J'ai pourtant l'impression de leur avoir volé, le temps d'un cliché, ce qu'ils ne diraient à personne d'autre. C'est une chance, une joie, et les mots ne suffisent pas.

D'où est ce que tu viens, tu sembles venir d'ailleurs que de ce monde…

Tu es comme une rose, jolie, parfumée, et tes épines mon touché le cœur.

Mon regard dans le miroir. Quelque chose de changé. Quelque chose de cassé. Les petites veines dans le blanc. Les yeux qui brûlent. Qui sont ma seule légitimité. Le seul témoin qu’il s’est passé quelque chose.

Un moment encore, dans la douceur de nos adieux. Puis la dérive s’est amorcée. Progressive. Je me suis surpris à marcher de ce pas étrange. Qui ne va nulle part. Qui avance par habitude. Je devrais me redresser. Je voudrais m’arrêter.

Qu’est-ce que tu m’as fait rêver...

Si tu étais là, est-ce que tu saurais me guérir ?

Que s'éteigne toutes les lumières car depuis toi je suis aveugle...


Créateur de Mode.

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10 juillet 2010

Je pousse l'écriture à bout


J’ai envie d’écrire mais écrire quoi ? L'écriture, c'est la création, l'imagination, la difficulté, l'inspiration, l'émotion…

Je ne peux pas m'empêcher de communiquer la mélancolie qui m'habite, une mélancolie enivrante, en aucun cas pesante, un petit cocon tristounet qui s'effile dans ma tête...

Il y a des choses qui se perdent, quand l'absence se fait ressentir.

La vie… une vie avec des jours qui s’accumulent, s’additionnant en années et créant une vie ! C’est ça une vie. Une vie faite de jours plus ou moins différents, plus ou moins identiques, plus ou moins originaux, plus ou moins compris des autres…

Parlons peu, mais parlons bien, parlons tout simplement de toi, ce doux visage, la grâce de ton sourire, un sourire si naturel, comme un doux levé de soleil, j’aime ton visage si lumineux, ce beau miroir qui me fait voir des paysages.

Il y a bien un regard en toi qui me dit tout, mais est-ce ce regard qui me dira si tu me mens ?

Parfois dans l'écriture, la main parle, et dans la lecture, les yeux entendent les paroles, alors je veux juste que tu saches que le bout de mes doigts, ont l'odeur de ta peau.

 

Je ne sais pas ce qui fait que le destin est choisi de nous pousser l'un vers l'autre. Une chance, un espoir perdu qui peu à peu réapparait. L'écriture avait manqué à ma vie, ou plutôt s'était de vie dont manquait mon écriture. Les sombres heures du passé qui se sont éternisées n'ont fait qu'effacer un peu plus l'encre que je croyais pourtant indélébile. J'ai passé ma vie, des journées entières à ressasser le passé, tout ce temps gâché, ce temps qu'on ne rattrape jamais.

Mais aujourd'hui, au détour de quelques phrases échangées je t'ai volé un peu de ton temps, ces secondes si précieuses qui s'écoule le long du sablier. Oui je t'ai chapardé quelques instants, je les ai attrapés au vol avant qu'ils ne s'échappent à tout jamais. Je les ai même fait renaître dans plusieurs de mes sourires. 

Quelques notes de musique, un violon, un piano. Une mélodie feutrée. Puis les mots sont venus de nul par, comme conduits par l'harmonie des croches, des blanches et des soupirs. Ils venaient pour toi se poser sur le papier. Il ne faut jamais dire jamais. Aujourd'hui est une promesse, une promesse à tenir, et à retenir. Je couche alors ces mots sur le papier, puisqu'ils imprègnent mon cœur et mes pensées, qu'ils se déposent à jamais ici et là. Pourvu qu'ils t'atteignent . 


Petit bout de femme & Créateur de Mode.

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15 avril 2010

Tu sais ce que j'aimerais ?. C'est que tu me parle comme tu le fait avec sincérité.


J'aimerai de tout cœur que tu me dises, que toi aussi, quand tu me parles, tu as l'impression de t'abrutir... Que toi aussi tu perds vraiment toutes tes capacités, que toi aussi tu as la gorge sèche pas possible et que toi aussi, tu ne sors que des idioties.

Tout simplement parce que je suis esclave de mes sentiments...

Fermer un livre afin d'en parcourir un autre. Hum.... à vrai dire j'ai pas dévoré le dernier roman...

Douloureusement frappé par les tristes évènements qui auront marqué cette année, on croit avoir connu toutes les douleurs, et avoir affronté ses pires peurs. T'inquiètes maintenant je suis rodé, la douleur j'y oppose une résistance symbolique. Cette furtive prise de conscience qu'un rien peut faire basculer notre existence.

Parfois j'ai peur de retrouver ma vie. Là, 2009 m'aura gâté autant que déchiré. Triste bilan, en espérant que 2010 sera meilleure. En plus, j'aimais les chiffres impairs, de force je vais aimer leur contraire. En mal d'inspiration. Pourtant mes doigts parcourent le clavier sans qu'une idée quelque peu sensée ne traverse mes pensées.

Je me suis toujours dit :

"Un jour je la rencontrerai, un de ces matins dans le bus, elle aura ce truc que les autres n'ont pas, tu sais ce petit plus, belle jusqu'au bout des doigts qu'elle ne se rongera pas, je serai déstabilisé, elle me fera bafouiller, les mains moites, elle n'aura pas de dossiers sombres, comme ceux qu'on emportera tous dans la tombe, je penserai à elle jour et nuit, elle sera ma muse comme le fut Mona Lisa pour Léonard de Vinci, je l'aimerai plus que ma vie, elle sera ma reine et moi son roi, je ne dirais plus jamais elle, sans que s'ensuive le moi, son odeur me suivra partout, tu sais celle si rassurante que l'on respire au creux de leur cou. Notre amour sera immense et authentique, comme dans Titanic. Notre complicité sera enviée. Ma déesse, ma faiblesse, elle ne me laissera jamais en détresse. Parfois elle me fera mal, au point d'atteindre mes voies lacrymales. Je la sortirai, je l'assumerai sans pour autant l'exhiber".

En moi j'ai un handicap génétique qui m'empêche d'aligner les lettres suivantes B.O.N.H.E.U.R. C'est pourtant simple paraît-il, ça ce résume à quelques mots dont nous sommes pour la plupart quasi incapables d'en mesurer l'ampleur.

Toi, oui toi, je te donne ma parole que je n'attendrai pas que tu me glisses entre les doigts pour te dire que t'es mon bonheur, mon moteur. Que t'as tout chamboulé depuis que t'as débarqué, je ne croyais plus en l'amour, à bout de souffle, prêt à m'inscrire aux célibataire anonymes
, que t'es arrivée et tu m'as dit, viens je te réanime. T'as soigné mes maux, tu m'as emmené chercher cet ange, qui n'a pas mis bien longtemps à sortir de sa cachette, pour nous viser avec ses fléchettes. J'ai alors laissé tomber les cours d'auto-défense et autre méfiance.

Au Diable le passé, amours et amitiés éphémères, derrière les souvenirs amers. Tu prends un tournant à 190° et quand tu t'y attends pas, ça te tombe au coin de la face. Une merveille, tout droit tombée du ciel, qui te donne envie de l'aimer à vie, comme si tu signais pour un "CDI". Alors là j'ai envie de dire oui.

Climat d'instabilité donc, je deviens marqué par la vie, par les gens qui la sillonne et qui laissent leurs traces, jusque dans la chair, dans le cœur et le sang. Des grandes balafres, ou de petites cicatrices, parfois plus de sang que de mal et d'autre fois... Ça ne se voit même pas, c'est presque invisible. Et pourtant. C'est là. C'est resté vif, rouge, piquant et quand tu grattes un peu trop la croûte tu morfles.

Curieuse impression que les gens deviennent ternes, vides et creux. Certes il ne faut jamais dire "fontaine je ne boirais point de ton eau" mais en même temps, si dans la fontaine il n'y a plus d'eau.. On fait comment ?. J'ai le sentiment une année de perdue, on ne perd jamais vraiment, c'est ce que j'essaye de me dire, et quand bien même on perd, on gagne toujours un peu. que le temps passe pendant que moi je stagne.

Plus d'expérience, ne serait ce que ca. Pas l'envie d'énoncer, juste d'avancer, seulement je ne sais plus quel véhicule utilisé, ni même quel chemin emprunté. Où me mène tout ça ?. Beaucoup partent. très peu restent. Comme des personnages qui défilent les uns après les autres sur un grand écran plus très blanc. La vie suit son court et finalement nous ne sommes que très souvent les spectateurs de notre propre rôle.

Jusqu'à décider de se lever de ce p***** de siège même pas si confortable et prendre la camera en main. Je prend la caméra et le scénario, je ne sais pas combien d'actes se joueront, ni si les décors resteront les même, ni si les personnages principaux ne deviendront pas secondaires, pour laisser place à d'autres, qui brillerons un peu plus fort. De l'intérieur, c'est là que tout se passe, c'est là que je m'intéresse, c'est là que je m'inspire, et c'est surtout de là que j'écris, et c'est ça. Je veux faire pareil avec la vie, la vivre, et non pas la regarder passer, complètement, pleinement, de l'intérieur, pour la rendre plus belle a l'extérieur. Qui saura ? On n'est jamais mieux servis que par soi même, n'est ce pas ?.

Mon film a moi, c'est un mélange de genre, de style. y à de la place pour tout et pour tous mais surtout pour elle.

Des émotions et des sentiments. En dehors et en dedans.

Je ne le penserais jamais aussi fort, et ce ne le sera jamais assez pour l'exprimer.

J'ai attrapé un coup de soleil, avec cette femme.


Créateur de Mode.

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10 février 2010

Envie de partir loin de ce monde !


C'est pas encore la saison des fraises. Elles sont un peu acides. Tout comme mon humeur du moment... Comme une bougie sans mèche, comment provoquer l'étincelle ?. Comment redonner vie à cet être perdu de tout, perdu de toi.

Creuse en moi, aide-moi à retrouver tout ce que j'ai perdu. Ravive la flamme mourante...

Qu'apparaisse dans mes rêves l'imagerie de mes choix c'est à dire toi. Sous un ciel bleu, se pose sur ma main, la tienne mais ce rêve reste un rêve et je ne peut le réaliser sans toi...

Se battre ou se taire, fuir ou rester. Ici, les deux reviennent au même. J'hésite, je panique, je transpire. Au lieu de refaire ma vie je ne cesse de croire en ce NOUS , je dois agir vite. Car cet amour va mourir, à minuit peut-être, ou plus tard dans la nuit, ou bien même dans plusieurs mois. Je ne veux pas gâcher cette nuit de folie, et pourtant, je retourne dans des sens inconnus mon cerveau. De plusieurs tours sur lui-même, à l'envers, de travers. Mon cœur me supplie, me rappelle à nos début. Mais je veux partir. Le rêve me transporte en un espace temps différent, je ne saurai pas quel choix j'ai fait, ici commence la réflexion la plus épineuse. S'octroyer la liberté conditionnelle, culpabilisante, accompagner cet amour mourant, le sauver ou précipiter sa fin ?.


Créateur de Mode.

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30 janvier 2010

Savoir pardonner !


Si vous pardonnez à quelqu'un ses péchés ceux-ci s'évanouissent sur le champ. Par contre si vous ne les pardonnez pas, qu'allez-vous en faire ?.

Un professeur d'Institut qui devait enseigner sur le thème du pardon, demanda à chacun de ses étudiants d'apporter un sac de pommes de terre lors du prochain cours. Il leur demanda ensuite d'inscrire sur une pomme de terre le nom de chaque personne à laquelle ils refusaient de pardonner, et à côté, la date. Puis ils devaient porter sur leur dos, partout où ils iraient, pendant le mois suivant, le sac de pommes de terre.

Ce fardeau leur parut vite insupportable. Ils se rendirent alors compte du poids spirituel de rancœur qu'ils portaient tous en eux. Ils comprirent aussi le degré d'énergie qu'ils gaspillaient en portant leur fardeau et le danger qu'ils couraient de laisser ce fardeau au mauvais endroit.

Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chaque étudiant comprit qu'il devait se débarrasser du sac au plus vite. Le pardon n'est pas seulement un don que vous faites aux autres, c'est aussi et surtout un cadeau que vous vous faites à vous-même, car en refusant de pardonner, un boulet s'attache à votre cœur et le bonheur et la bénédiction s'enfuient loin de vous. Qu'allez-vous donc faire du fardeau de péchés que vous refusez de pardonner ?

Aimeriez-vous vraiment que Dieu, vous pardonne avec le même enthousiasme que vous mettez à pardonner les péchés des autres ?.


Créateur de Mode.

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28 janvier 2010

Madame, Mademoiselle, Monsieur.


Une petite intervention de pacotille...

Je ne cautionne pas du tout le genre de pratique de la soit disant "pouf", ou du soit disant "salaud" mais attention, un bémol...

Je m'explique...

Si vos "Hommes" ou "Femmes" vont voir ailleurs, avant de frapper l'autre fille ou garçon
<< qui soit dit en passant est forcément une pouf puisqu'elle allume votre mec ou un salaud puisqu'il chauffe votre petite amie >>, vous êtes-vous demandé pourquoi a-t-il/elle cédé ?

Réponse...

Bien souvent c'est à cause de l'intérêt que les autres leur porte, qu'ils ne retrouvent peut-être pas ou plus du tout auprès de leur chéri(e), car comme vous le dites si bien, un(e) pouf/salaud est une personne inintéressante, complètement con(ne), bon(ne) à rien, et parfois pas belle/beau du tout, mais leur avantage, Elles/Ils s'intéresse à vos Mecs/Nanas

Donc sans vouloir faire la moral, remettez-vous en question.


Créateur de Mode.

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28 janvier 2010

Quand il s'agit de toi mon coeur faut le camisoler.

- Pour toi, j'aurais brisé des nuques, fracturé des côtes, mis des balayettes, démonté des crânes, j'aurais même fait saigner mon coeur... mais toi, tu f'sais juste tourner ma tête.

Un eternel recommencement :

Differement, mais dans le fond, c'est souvent la même chose.
<< Une succession de hauts et de bas >>..

Je me pose la question. La vie est comme une montagne russe mais veut on vraiment recommencer chaques tours ? Ou peut être que la determination n'est qu'une sorte de résignation, une resignation a l'habitude, par peur ? Peur de la nouveauté ?...

 Notre vie n'est qu'un conte, parfois triste, parfois heureux et l'on se bat tous pour une fin a la << et ils vecurent heureux jusqu'a la fin des temps >>. Mais la fin des temps, on ne la raconte jamais dans les contes. Il se passe quoi après ? Peut être que le/la prince/princesse n'est plus si charmant(e) que ça, peut être que Cendrillon a mal au pieds dans sa pantoufle de verre, et qu'elle se sent prisonniere. 

 Mais c'est ca, l'incertitude, qui nous fait avancer. Parce qu'on veut savoir ce qu'il y'a apres le mot fin. Le mot fin n'existe pas. Peut être que la vie c'est simplement trois petits points... Alors parfois on rencontre des ogres/sorcières qui deviendront princes/princesses, d'autres fois des princes/princesses qui deviendront ogres/sorcières, et on ce perd, et on apprend a retrouver notre chemin, on apprends a se mefier, on embrasse des crapauds/chèvres qui ne deviendront jamais charmant(e)s mais qui nous apprenent a paufiner un peu plus l'antidote anti venin. Car au fond on le sait bien, le prince charmant n'existe pas vraiment tout comme la princesse des comptes de fée, Une sorte de compromis entre rêves et réalités...

Au fond peut étre qu'on est tous/toutes des princes/princesses charmant/compte de fée que dis je, ce n'est pas une question mais une certitude, nous sommes tous/toutes des princes charmant/princesses de compte de fée... Des princes charmant modernes avec des chaussures a la Kanye West ou bien des cendrillons modernes en converse qui arpentent le macadam, des princes charmant insolents et insomniaques, des chaperons rouges qui n'ont plus peur du loup depuis longtemps, des blanches neiges dependantes a la pomme mais qui savent aussi se contenter de kiwi.

Avec des si on pourrait refaire un monde, se reinventer les choses, avec des peut être on peut en supporter beaucoup d'autres. Parce qu'une chose est sur, ce sont eux/elles qui nous font tenir. Douter oui, et ils/elles peuvent nous blesser parfois, mais ce sont eux/elles meme qui nous font avancer, qui nous font espérer. Et comme on dit tant qu'il y'a de l'espoir, y'a de la vie. C'est ca le vrai sens de la chose. Il n'ya des peut êtres que parce que la vie les provoque.

 A chacun d'y trouver son sens. Rien n'est universel. Apart peut être, le peut être.

CamisoleForce3

 

 

 


 

 


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